Google, meilleur promoteur du contenu de qualité

Il s’appelle Panda, et il est votre ami… si vous produisez du contenu de qualité ! Inlassablement, cet algorithme de Google parcourt le web et scrute le contenu de vos pages. Pour vous assurer une place de choix dans les pages de résultats, il faut pouvoir satisfaire à ses exigences… de qualité. 

Vous pouvez détester ou adorer Google, mais vous ne pouvez pas vous en passer. A lui seul, le moteur de recherche peut être responsable de 50 % à 80 % du trafic entrant de votre site*. Aucune publicité, aucun réseau social ne peut en faire autant. Mais pour bénéficier de ce formidable outil de promotion, il faut être classé en ordre utile dans les résultats. Et donc proposer un site qui « plaise » à Google.

*Si vous possédez un compte Google Analytics, vous pouvez consulter d’où provient le trafic de votre site via le menu Acquisition – Tout le trafic – Source/support.

Servir un contenu de qualité à l’internaute

La firme de Mountain View ne dévoile pas les critères précis sur lesquels elle base son jugement, mais elle énonce une série de bonnes pratiques et un objectif général :

« La clé pour concevoir un bon site Web est de créer la meilleure expérience possible pour votre audience, avec du contenu original et de haute qualité »

L’attention que Google porte à la qualité de vos pages n’est pas nouvelle et elle se comprend facilement. Google tire ses revenus de son trafic. Plus il compte d’utilisateurs, mieux il vend ses espaces publicitaires. Pour rester le moteur de recherche préféré des internautes, il faut que les résultats qu’il apporte soient les plus pertinents.

De la qualité selon Google…

A l’origine de Google, il y a PageRank. Cet algorithme détermine le classement d’une page en fonction de son autorité. Celle-ci est basée sur la quantité de liens qui pointent vers la page. La méthode était novatrice en 2005, et terriblement efficace. Elle explique l’ascension fulgurante de Google. Mais la technique n’est pas sans faille : il est en effet possible de « gonfler » artificiellement le nombre de liens entrants, sans garantir une quelconque pertinence pour l’utilisateur final.

Très tôt, Google a donc été confronté à des pratiques d’optimisation visant à améliorer le classement d’une page, et non la qualité du contenu. La firme a dû réagir pour conserver son statut de leader. Elle a fait évoluer son algorithme afin que celui-ci intègre des critères de qualité.

S’ensuivit une véritable course à l’armement ; le moteur de recherche affinant son analyse, et les créateurs de contenu essayant d’en exploiter les failles. Ecrire pour le web est progressivement devenu un exercice à part, dans lequel le lecteur le plus important était un robot. Et tant pis si le style s’en trouvait alourdi, avec le même mot-clé répété ad nauseam.

... à la qualité tout court

En 2011, Google a franchi une étape décisive en annonçant l’ajout d’un algorithme dénommé Panda. Contrairement à PageRank qui valorise des pages en fonction de leur autorité supposée, Panda ne s’intéresse qu’au contenu. Mais surtout, Panda frappe, et il frappe fort. Si votre contenu est de qualité, il vous ignore. Mais s’il est jugé faible, la page est sanctionnée et dégringole dans le classement. Pour les sites qui subissent une « Attaque de Panda » – c’est l’expression consacrée – les conséquences peuvent être catastrophiques. Le jeu en vaut-il encore la chandelle ?

Aujourd’hui, l’analyse de Google est devenue tellement fine qu’elle tient compte des synonymes, des images, de la syntaxe… A tel point que le plus simple est de satisfaire son public sans se soucier des robots. Proposez-lui un contenu de qualité, et il restera ou reviendra sur votre site. Ce qui est bon pour vos affaires… et votre classement.

Les directives de Google et les analyses faites a posteriori permettent de dégager les caractéristiques d’un contenu de qualité :

  • Il est original et unique. Google sanctionne lourdement les contenus dupliqués ou générés automatiquement.
  • Le sujet est clairement identifié, mais les mots-clés ne sont pas surexploités.
  • Il n’est pas superficiel. Cela se traduit par une longueur suffisante au regard du sujet traité.
  • Il est structuré à l’aide de titres et de sous-titres mais aussi d’images, de listes et d’autres marques de formatage.
  • Il est lisible, avec des phrases courtes et un langage simple.
  • Il est hébergé sur un site à jour techniquement, capable de présenter le contenu de manière agréable sur les supports mobiles.

Un contenu de qualité dépend notamment de ces quelques règles simples. Mais attention ! Pour arriver ou vous maintenir au sommet, il faudra passer à la vitesse supérieure : du contenu d’excellente qualité. Encore plus original, encore plus profond…

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